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Au gré du vent, à fleur d'eau
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7 janvier 2006

Fenêtre sur coeur (1)

Deux mois... deux mois déjà ou à peine que j’ai découvert la richesse du “monde des blogs”, que j'ai découvert vos mots qui invitent au voyage... vos mots qui souvent, très souvent me touchent...

Vos mots sont de petites lumières qui illuminent et réchauffent notre hiver...

Vos mots sont des fenêtres sur vos émotions, votre imaginaire, votre âme...

Vos mots sont des fenêtres de vie, fenêtres en vie, fenêtres sur vie...

des fenêtres sur COEUR...

fen_tre_r_duite_castelnou

J’ai récemment relu quelques poèmes en prose de Baudelaire (dont “Les fenêtres”)

et j’ai pensé à vous... à VOS fenêtres : Extrait...

Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. Ce qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie. Par-delà des vagues de toits, j'aperçois... "

fen_tres_volets_bleus1

Apercevez-vous quelqu’un derrière cette fenêtre illuminée ? Quelle vie devinez-vous ?

Imaginez, racontez...  Je vous raconte... dans mon prochain post...

boite___lettres

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Commentaires
M
ces fenêtres m'inspirent une scène paisible de vie de famille unie et heureuse avec des parfums de bons petits plats "commavant", quand on rêvait d'être grands.<br /> Bisous.
M
Je suis soufflée par ton inspiration qui permet à ces fenêtres de voyager dans une autre dimension.<br /> Bravo!! Bises
M
Le voyageur, dont NO-BODY espérait le retour, par le parfum d'un bon chocolat alléché...
D
une fenêtre illuminée qui reflète les étoiles du ciel, à l'intérieur, je ne peux voir, mais je sens tout le bonheur qui se dégage dans l'odeur de la bonne soupe que la mère prépare, les bruits des enfants qui rient en jouant avec leur papa, je passe ma route, heureuse d'avoir participé une seconde à ces instants de bonheur
F
"Eh, coco! Mate un peu ces f'nèt là... Celles avec des volets bleus et des trucs blancs décorés d'ssus... Même qu'en haut, c'est pas les mêmes... Moi j'te dis... Ca sent l'artiche, comme qui dirait une vraie tirelire pour p'tits doigts en l'air... Sûr de sûr, y'a du beau monde et des donzelles en dentelles qui pètent dans la soie là d'dans. Mais r'garde un peu bon sang! Imagine l'coffiau... Un vrai, bien gros, avec tout c'qui faut d'dans. Les rivières de ces d'moiselles quand papa les déguise en arbres de Noêl pour décongeler les zozos, les biftons bien rangés, pas un qui dépasse, comme tout l'reste... Eh! Mais t'en va pas! T'es fou ou quoi? Pour se refaire la c'rise, y'a pas mieux non?"<br /> "Ta gueule Riton, trace! C'est pas la case à des bourgeois, c'est la crèche des filles à Léon. Il les met là pour rassurer l'chaland qui veut jouer les monte-en-l'air. Mais eux, c'est via un ascenseur sacrément carrossé avec accès direct au 7ème ciel. Satisfait ou remboursé! Le genre de cabine où les p'tites gueules comme toi ont même pas l'droit d'appuyer sur le bouton! Mais fais pas cette trogne bon sang, tu r'ssembles à un bulldogue à qui on vient d'lever son os! Allez, laisse béton, la c'rise, c'est plus loin!"<br /> Ah... la nostalgie des vieux polars en noir et blanc.... <br /> Allez, bises à toutes et tous,<br /> Flo
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